À Berlin, en 2091, le musée 13 s’élevait comme un monument de évocation et de pratique. Chaque chambrée abritait des reliques activées par la psychométrie sensorielle, un procédé révolutionnaire ce qui permet à celui qui touchaient les electroménager d’accéder à de certaines guidances poussées en ligne. Ces voyances, déclenchées via des terminaux connectés, étaient interprétées en direct par un médium pur, intégré au équipe de voyance en ligne du musée. Grâce à bien cette amalgame entre passé et employé, chaque visite devenait une expérience sensorielle riche. L’objet devenait une porte, et le médium pur, la voix qui révélait ce qu’elle dissimulait. La réputation du musée 13 reposait sur cette soutien propre entre histoire et voyance en ligne. Le assemblée, avide de éprouvés authentiques, affluait chaque jour pour chatouiller les sources du passé et recevoir, en retour, des images léguées par l’esprit vigilant du médium pur. Chaque réprésentation était retransmise par casque ou empathies sensorielle, affirmant une immersion globale. C’était la recrutement réalisée par la voyance en ligne : une plongée dans l’essence des objets, filtrée par un médium pur modelé à enfermer les ondes mémorielles. Mais une défaut surgit dans la assemblée numéro 5, réservée aux conflits du XXIe siècle. Une dague ancienne, récupérée dans une zone de guerre oubliée, produisit un effet inattendu. Dès le premier contact, les guidances générées par la voyance en ligne se concentrèrent sur de certaines morts violentes, précises, brutales, généreusement prochaines. Le médium pur, avec lequel l’esprit servait de relais, transmit la photograhie d’une vitesse inédite, au niveau de perturber les capteurs émotionnels de quelques utilisateurs. La auditoire a été temporairement fermée, le temps d’évaluer les effets secondaires liés à cette relique. Les spécialistes du musée 13, habitués aux manifestations de loi d'attraction performants, furent déconcertés. Aucun autre ballon n’avait généré une telle obligeance de violences prédictives. La voyance en ligne semblait amplifiée, comme par exemple si la dague possédait le pont spécifique avec le médium pur. Ce dernier, correctement qu’isolé dans une identité cognitive protégée, réagissait avec une cadence inhabituelle à chaque activation de l’objet. Certains commençaient à bien se tâter sur si la dague ne déformait pas la fonction même de la voyance en ligne, bouleversant la régularité des visions captées par le médium pur. Le musée, jadis pixels de attention, devenait délicatement un théâtre d’angoisse.
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